De la prolifération des mondes
Mon infinie suffisance me laissa penser avoir vu un bon panel de la blogosphère. En cherchant à élargir le champs de mes errances, nombre de lacunes me sont apparues.
la limite des liens
Ainsi, que je le veuille ou non, mes explorations n'ont à ce jour guère dépassé la blogosphère-BD, première amour, se cantonnant à un même réseau d'artistes, souvent jeunes, encore plus souvent ados, tous évoluant autour du graphisme traditionnel ou numérique. Je n'en ai pas fait le tour, pourtant je pressens que je pourrais ne jamais sortir de cet ensemble en me contentant d'évoluer de liens en liens.
les blogs de fournisseurs
De même, si je l'ai eu fait avant de courir les blogs, prendre les annuaires de chaque fournisseur, pour passer en revue tous les membres, peut révéler tant sa part de merveilles - nonostant les heures de pagination nécéssaires à accéder au joyau, que sa diversité ...
J'ai arrêté ce genre de consultation après avoir échoué sur Skyblog, haut lieu de la djeunzesse ... Certes il est délicat de présumer d'un contenu, pourtant je ne crois pas me tromper en affirmant qu'il y a là de quoi désespérer.
N'en reste pas moins ques les fournisseurs abondent, donc les annuaires abondent également, avec autant de membres et de communautés à découvrir.
le relai des communautés
Mes vagabondages d'hier sont pour une fois partis des liens vers le commentateur, brillante initiative s'il en est ! J'ai ainsi migré vers de nouvelles sphères par une forme d'osmose où le blog ne serait qu'une membrane.
Me sont alors apparus des réseaux d'hommes politiques, une blogogeoisie parisienne, un défoulatoir provocateur de jeunes prostitués hommes et femmes, une bibliothèque des nouvelles technologies alimentée au jour le jour, et je ne me souviens pas de la moitiè.
J'en conclus que je suis loin d'avoir fini de bloquer sur cet ordinateur, soit pour naviguer, soit pour vous en parler ...